Le prédécesseur
du sumo moderne professionnel vit son développement à travers la
période Edo et fut appellé 'kanjin-zumo'. Les gains qui en résultaient
étaient dédiés à la construction ou la réparation des sanctuaires,
temples, ponts et autres travaux publics. Mais un peu d'argent,
bien sûr, était aussi utilisé pour payer les rikishi, un certain
nombre d'entre d'eux étant ronin (samurai sans maître).Plus
tard, l'argent récolté fut utilisé principalement comme pari pour
les sumotori.
Pendant la période
Edo un système de rang et de liste officielle fut introduit. En
1761, le nom de l'organisation sumo sur les listes officielles par
rang fut changé de kanjin-zumo à 'kanjin-ozumo', marquant la première
heure de la version professionelle du sport qui fut appellé 'ozumo'.
L'association
sumo de Tokyo, avec 88 noms de toshiyori (lutteurs), fut fusionnée
avec celle des 17 d'Osaka en 1927 pour former la Sumo Kyôkai moderne.
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